Du 24 février au 25 mars, le Club Lecture du CDI propose un concours littéraire. Il s’agit d’inventer une suite à un texte rédigé par les membres du Club lecture d’une dizaine de lignes minimum.
Laissez parler votre imagination et rédigez le futur best-seller ! A vos plumes !
Texte à poursuivre :
Le saule pleureur
Marc marchait sur la chaussée, déterminé, il se retrouva sans s’en rendre compte sur une avenue qu’il ne connaissait pas. De toute façon, quelle importance ? Il était tellement en colère ! Comment il aurait pu en être autrement ? Les poings serrés, il continua son chemin. Ils avaient donc osé ! Ils l’avaient fait ! Ils l’avaient enfermé dans la cave ! 24 H ! Un jour ! Ils l’avaient enfermé un jour. Un jour sans manger, un jour sans boire. Un jour ! Pourquoi ses parents ne s’étaient-ils rendu compte de rien ? Il était en vacances chez ses frères et sœurs, à la campagne, et ceux-ci l’avaient enfermé ! Une bonne blague pour eux certes, mais pas pour lui ! Marc fulminait, rageait. Et là sans prendre gare, il avait atterri près d’un saule, un magnifique saule pleureur non pas un saule : le saule. Un saule qui rayonnait de mille feux, un saule qui envoûtait ses sens, un saule qui créait en lui un sentiment d’admiration, de joie et de bonheur. Soudain, sa colère s’apaisa, et cette colère fut remplacée par une envie, une envie immense de se blottir près du saule. Une envie de se lover près de lui. Le lendemain on le retrouva, là, endormi au creux du saule.
Le saule pleureur
Marc marchait sur la chaussée, déterminé, il se retrouva sans s’en rendre compte sur une avenue qu’il ne connaissait pas. De toute façon, quelle importance ? Il était tellement en colère ! Comment il aurait pu en être autrement ? Les poings serrés, il continua son chemin. Ils avaient donc osé ! Ils l’avaient fait ! Ils l’avaient enfermé dans la cave ! 24 H ! Un jour ! Ils l’avaient enfermé un jour. Un jour sans manger, un jour sans boire. Un jour ! Pourquoi ses parents ne s’étaient-ils rendu compte de rien ? Il était en vacances chez ses frères et sœurs, à la campagne, et ceux-ci l’avaient enfermé ! Une bonne blague pour eux certes, mais pas pour lui ! Marc fulminait, rageait. Et là sans prendre gare, il avait atterri près d’un saule, un magnifique saule pleureur non pas un saule : le saule. Un saule qui rayonnait de mille feux, un saule qui envoûtait ses sens, un saule qui créait en lui un sentiment d’admiration, de joie et de bonheur. Soudain, sa colère s’apaisa, et cette colère fut remplacée par une envie, une envie immense de se blottir près du saule. Une envie de se lover près de lui. Le lendemain on le retrouva, là, endormi au creux du saule.